C'est suite à une réflexion de ma soeur que je fais ce post...
Elle m'a dit: "Quand tu n'avais pas de copain, tu était heureux. Mais dès que tu en as eu, tu n'as pas arrêté d'être triste.". Sur le coup, je n'ai rien dit. Je n'ai rien su dire.
Je me dis qu'elle a raison et tord à la fois. J'étais encore plus triste avant, sauf que je ne le montrais pas. Après tout, à qui montrer de la tristesse quand il n'y a personne autour de soi?
Mais surtout en ce moment, je vis une période de transition. Bien sur que je suis triste à cause d'eux mais ce n'est pas vraiment une tristesse dans le mauvais sens du terme, puisque je suis au contraire triste de ne pas être avec eux.
Et pourtant, j'ai des doutes. Moins. Beaucoup moins. Mais ces doutes restent quand même très dur à supporter: rien que hier soir, j'ai rêvé de deux personnes qui me sont proches et qui me repoussaient. Ce n'était qu'un rêve mais c'est juste ma peur du moment.
Des fois, j'ai envie de les oublier. J'avais l'impression d'aller mieux avant, sans que je les connaissent, mais ce n'est qu'un mensonge: je suis triste parce que je me rappelle les bons moments alors qu'avant, je n'avais rien à quoi penser.
Bientôt, je n'aurais plus de doutes. Laissons faire le temps et comme le printemps, la joie reviendra.
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