C'est encore moi !
Bon, j'ai décidé de suivre ceux qui me disaient de ne pas avoir de regrets et je lui ai dit. Bon, je lui ai surtout dit mes sentiments et que je voulais garder notre relation... Bref, je savais que rien n'était possible que je le voulais comme ami.
Quelle trouille j'ai eu !
Mais finalement, ca s'est bien passé. Bon, j'ai pas osé le regarder pendant dix minutes, le temps de la marche mais il m'a finalement dit ce qu'il en pensait.
Au final, on restera juste amis et nos relations n'auront jamais changés... Heureusement. Bien sur, j'aurais voulu autre chose mais c'est mieux que rien. :D
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6 commentaires:
Aucun rapport avec ton article, même si c'est très bien pour toi.
Un rapport plutôt avec ton dernier article maintenant supprimé.
Assume ce que tu dis, et assume les critiques.
On est plusieurs à avoir lu ce que Gaby a dit, et on est aussi plusieurs à approuver.
On peut apprécier quelqu'un autant qu'il veut, ça nous énervera de le voir toujours triste et de voir qu'il n'arrive pas à passer de bons moments sans se bouger le cul, sans zapper tout ce qui ne va pas habituellement.
Tu réclames d'être aimé, d'être l'ami des gens, mais c'est pas en te montrant triste, déprimé, et désireux de regards condescendants, de pitié que tu obtiendras ça.
C'est en montrant que tu sais trier les moments où tu peux leur parler de ce qui te tracasse et les moments où tu peux profiter et prendre du bon temps sans importuner les gens à leur balancer des trucs qui déplaisent.
Et puis, merde, arrête de dire que tu vas te suicider. Là encore tu fais un appel au secours pour les gens aient pitié de toi : c'est pas de l'amitié. S'ils se soucient vraiment de toi, ils viendront tout seul comme un grand te voir en remarquant que tu vas pas bien.
Et puis, arrête de te victimiser. Tu ne fais que demander à ce qu'on t'aime, à ce qu'on t'apprécie, à ce que tu sois un ami, mais comprends qu'on ait pas envie de te voir déprimé tout le temps. Comprends qu'on ait pas envie de quelqu'un incapable d'apprécier quoi que ce soit : c'est normal de ne pas aller bien, on le fait tous, mais on sait aussi être là pour les autres et apprécier de les voir. Alors oui, des fois ça vient d'un coup, la déprime, des fois ça arrive sans qu'on le veuille, mais toi c'est en permanence. Un peu comme un maso qui prendrait du plaisir à ça. Arrête de vouloir attirer l'attention sur toi, ça viendra tout seul si tu fais l'effort d'aller mieux, et là, ça dépend que de toi. Je sais qu'il y a énormément de gens qui te soutiennent, qui t'ont toujours soutenu, et qui ne souhaitent que te voir bien, mais laisse les respirer. Ils ont autre chose à faire que de te prendre en charge et te forcer à avancer.
Au bout d'un moment, tu dois faire le chemin tout seul, sur le sentier que les autres t'ont aidé à tracer. Ils peuvent t'aider, mais pas te forcer à avancer : ça sera toujours ta décision.
Tu penseras peut être que c'est l'hôpital qui se fout de la charité/de l'infirmerie en sachant que ça m'est arrivé de souler des gens quand j'étais moi même pendant environ deux ans en dépression, mais on est toujours mieux placé quand on est extérieur pour commenter. Alors oui je suis chiante aussi quand je vais pas bien, mais j'ai quand même su apprécier les moments passés avec les gens quand j'ai pu les voir, même si la cause de mon trouble était là et qu'au fond, j'en étais perturbée.
Bouge toi, c'est tout ce que j'ai à dire.
Une multitude de gens t'apprécient (Titi, Isa, Gaby, Mélanie, Pensine, moi, etc...) et souhaitent que tu cesses d'avoir ce comportement en permanence, tu as toutes les cartes en main pour les faire maintenant...
*se sent moins seule*
merci Nana
Ma chere Elnaie, merci de polluer les messages de ce genre... Mon dernier article n'est pas supprimé, je peux le remettre avec son commentaire quand je veux, je pense juste que c'est une "conversation" du domaine du privé... Tout comme ce message, mais comme je suis un grand méchant qui n'assume pas, je vais laisser ce message...
Bref, je serais ravi de discuter de ça en privé, la où ca ne concerne que nous. Si tu ne veux pas en discuter en face à face, dommage.
Je dirais une chose pour ma defense. Hier, je suis venu dans l'espoir de passer une bonne journée. Contrairement à ce que dit Gaby, non, je n'ai pas passé toute la journée à faire a gueule. C'est juste l'intervention de Pensine qui m'a totalement tué dans le sens où je ne savais pas quoi faire.
Et puis, je ne vous comprend pas. Quand je fais semblant et qu'après je poste ici que je vais mal, vous m'engueulez comme quoi je suis hypocrite, qu'après je balance plein de choses par derrière. Quand je vous dis directement que ca ne va pas, ca y est je gache votre journée et je ne suis qu'un égoiste. Conclusion: je ferme ma gueule, je fais semblant que tout va bien et j'endure tout seul?
Ce message sera, j'espere, le dernier que j'aurais à commenter. Vous aussi, grandissez un peu et venez directement en face me dire ça, mettez moi des claques au moins pour que j'ai une raison d'avoir mal... :/
Tu censures les gens qui veulent dire ce qu'ils pensent tout haut. Tu parles de toi, de ta vie privée et tu te plains que les gens viennent faire des critiques sans faire de révélations pour autant, alors que quand c'est pour te brosser dans le sens du poil, tout est accepté et tu justifies ta censure en disant que la conversation était d'ordre privée.
Tu dois aussi accepter les paroles dures des gens qui t'aiment. Que tu n'ailles pas bien et que tu exprimes ton malaise dans un cadre restreint avec des amis, ça passe. Pas avec de inconnus ou des gens que tu connais peu, alors que nous étions dans un cadre festif.
Gaby ne t'a pas mené en tribunal tu n'as pas à te défendre, comme ce n'est pas ta tête pensante (et oui nous sommes au courant de ton e-mail pour elle.).Ce qu'elle a fait n'est pas une mise en accusation, mais de la tendresse et de l'inquiétude parce que apparement elle sait où la dépression mêne et elle sait vers quoi tu cours. Même si pour toi tu n'as pas fait la gueule de la journée, le reste est vrai.
Et si nous restons anonymes ce n'est pas par lacheté.
Je suis sûr que tu crois en ma phrase du dessus autant que je crois en ta tirade. Cela sonne faux, n'est ce pas?
Si tu savais qui vient de te dire ça, tu le rejetterai comme tu l'as fait vis a vis de Gaby et vis a vis de Elnaïe parce que ce message n'est pas plein de condescendances, celle que tu attends pour réconforter ta petite personne. Voilà la vérité.
En attendant, qui ne dit mot conssent... donc que font tes "vrais amis" si ils ne répondent pas ici? Relis donc les premières lignes d'Elnaïe pour le savoir.
Cher Anonyme, tu pense vraiment que je les rejettes? Tu ne crois pas que ces messages, je les ai lus, relus et dit qu'elles n'avaient pas tellement tord. Tu penses vraiment que quelqu'un que je rejetterais, je lui dirais de me voir en face (téléphone, msn) pour en parler?
Non je ne les rejettes pas. Non, je ne les prend pas pour ce qu'elles croient. Bien au contraire, ca me fait d'autant plus chier de m'engueuler avec elles. Avec toi, je ne sais pas qui tu es - je ne veux même pas le savoir - donc je ne sais pas si j'ai une raison ou non de t'en vouloir.
L'acte de Gaby, je l'ai pris mal, oui. Je n'ai pas pris ça comme de "la tendresse et de l'inquietude" mais juste comme de la colère. Sincerement, je ne connais pas beaucoup de gens qui se seraient pris ça dans la figure et qui auraient continués à sourir comme si de rien n'était. Après, ce n'est pas parce que j'ai pris mal ça que je prend mal tous les messages qui "ne sont pas pleins de condescendances". Je connais une personne qui arrive à m'engueuler sur ma condition du moment et pourtant, on est encore en très bons termes. Sauf qu'elle, elle ne prend ni un ton de pitié, ni un temps non plus d'engueulade. Elle me dit juste ce qu'elle pense d'un ton neutre et j'accepte ses critiques.
Et encore une fois, si je censurais, tous ces messages auraient disparus... ;)
Déçue, je crois que c'est ce que j'ai ressentie en te voyant ainsi samedi. Déçue que tu n'es pas voulu faire d'effort, oui voulu...
Tu as de la chance, je ne suis pas chez moi, mais les messages précédents et bien ils sont vrai et exprime très nettement ce que je resens.
Je veux bien concevoir que tu sois mal, je veux bien concevoir que tu ne sois pas bien, je peux comprendre ton malaise mais tu n'avais pas à réagir ainsi samedi.
Moi, ça ma fait du mal et de la peine pour te dire...
Réagie Fabien... Réagis!
Isa qui signe en anonyme car elle sait plus son mot de passe...
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